vendredi 11 décembre 2015

La grande arnaque européene.

Le modèle qui nous a été vendu comme un progrès immense et une source de richesses incalculables est en fait un édifice pourri et totalitaire.


Années après années les peuples européens se réveillent lentement comme après une nuit trop longue et le reveil est plus que douloureux, des millions d'européens otages de leurs gouvernements se rendent compte que l'union européene est en réalité un vampire polyforme qui se nourrit de la productivité et de la force des individus au profits d'interêts obscurs et étrangers.


Au départ, dans les années 1950 l'objectif était noble : empêcher de nouvelles guerres européennes en mettant en commun des ressources comme le charbon ou l'acier nécessaires à la production militaire.
Dans les années 1960 l'objectif était la simplification, le traité de fusion imposait que les pays membres soient dirigés par une entité basée à Bruxelles.
En 1987, le rôle du Parlement européen a été renforcé afin de devenir un parlement "supra-national" ayant un droit de regard sur les mesures législatives prises au sein de chaque état.
Puis les choses s'accélèrent ; 1992 : Traité de Maastricht, 1997 : traité d'Amsterdam, 2001 : traité de Nice.


La perte inacceptable de notre pouvoir de décision s'est opérée au fil des traités et des décrets en endormant à chaque fois l'électeur à coup de campagnes de propagandes et en faisant culpabiliser l'européen sur son passé: nous sommes (entre autre) les méchants blancs colonisateurs qui doivent expier pendant des milliers d'années.


L'euro mis en circulation le 1er janvier 2002 est sans doute la plus grande fumisterie de l'histoire de notre continent.


L'idée d'une monnaie unique n'est pas une mauvaise chose en soi, je me souviens que les arguments largement diffusés grâce à la machine de propagande d'état mise en branle étaient saisissants de bon sens, ainsi cette nouvelle monnaie allait nous permettre de voyager dans tous les pays membres de l'UE en utilisant les mêmes pièces et les mêmes billets, cette nouvelle monnaie allait également nous permettre de conclure des transactions plus facilement avec les états étrangers, et voir même de concurrencer le dieu-dollar sur les marchés financiers, bref, il fallait être irresponsable pour ne pas accepter.


Effectivement à l'époque tout semblait rose, et même les plus euro-sceptiques ne trouvaient que peu d'arguments à opposer à cette nouvelle monnaie européenne.
Bien des années après, le constat est glaçant.


Premièrement, il est indiscutable que l'euro a engendré une hausse des prix, et ce, dans tous les domaines de la vie courante, le fameux "pouvoir d'achat", notion pré-fabriquée devenue un argument électoral de plus : les politiciens promettent toujours de préserver le "pouvoir d'achat" avant une élection, mais c'est au "pouvoir de vendre" qu'ils pensent.
Les gouvernements français n'ont pas hésité à sacrifier l'emploi en permettant aux industriels de délocaliser en masse pour revendre les mêmes produits avec une marge délirante à ceux qu'ils avaient licenciés.
Quand ils prétendent protéger le pouvoir d'achat, ils protègent le formidable pouvoir des banques et organismes de crédit sur les individus, car en courant au pouvoir d'achat, devenu le saintGraal des ménages français, on court en fait à l'endettement et à l'extinction de notre réel pouvoir de décision, ceci est vérifiable à l'échelle humaine, mais également à l'échelle des entreprises, des collectivités et des états.
L'euro a participé à l'abaissement du niveau de vie des peuples et donc à l'enrichissement des banques, tout cela fait partie intégrante du plan de l'UE, la monnaie unique n'est que l'aboutissement du désir des institutions européenes d'asservir les peuples et les états, encore une fois l'état français est complice de la lente mise à mort de son peuple.


Un individu endetté est un individu docile, un individu endetté est un individu malléable, un individu endetté et sensible à des arguments électoraux liés au pouvoir d'achat !


Lorsqu'un état européen permet à ses entreprises de délocaliser des forces de production, il participe à l'appauvrissement de son peuple en créant du chômage, mais il contribue surtout à faire émerger des pays qui eux-mêmes se sont endettés auprès des banquiers internationaux.La manœuvre vise à s'assurer que ces pays "émergents" règlent bien les intérêts de leurs emprunts faramineux (le capital n'a que peu d'importance): voilà la grande arnaque européenne dont nous, les peuples sommes les seules victimes.
Le modèle qui nous a été vendu comme un progrès immense et une source de richesses incalculables est en fait un édifice pourri et totalitaire.
Années après années les peuples européens se réveillent lentement comme après une nuit trop longue et le reveil est plus que douloureux, des millions d'européens otages de leurs gouvernements se rendent compte que l'union européene est en réalité un vampire polyforme qui se nourrit de la productivité et de la force des individus au profits d'interêts obscurs et étrangers.
Au départ, dans les années 1950 l'objectif était noble : empêcher de nouvelles guerres européennes en mettant en commun des ressources comme le charbon ou l'acier nécessaires à la production militaire.
Dans les années 1960 l'objectif était la simplification, le traité de fusion imposait que les pays membres soient dirigés par une entité basée à Bruxelles.
En 1987, le rôle du Parlement européen a été renforcé afin de devenir un parlement "supra-national" ayant un droit de regard sur les mesures législatives prises au sein de chaque état.
Puis les choses s'accélèrent ; 1992 : Traité de Maastricht, 1997 : traité d'Amsterdam, 2001 : traité de Nice.
La perte inacceptable de notre pouvoir de décision s'est opérée au fil des traités et des décrets en endormant à chaque fois l'électeur à coup de campagnes de propagandes et en faisant culpabiliser l'européen sur son passé.
L'euro mis en circulation le 1er janvier 2002 est sans doute la plus grande fumisterie de l'histoire de notre continent.
L'idée d'une monnaie unique n'est pas une mauvaise chose en soi, je me souviens que les arguments largement diffusés grâce à la machine de propagande d'état mise en branle étaient saisissants de bon sens, ainsi cette nouvelle monnaie allait nous permettre de voyager dans tous les pays membres de l'UE en utilisant les mêmes pièces et les mêmes billets, cette nouvelle monnaie allait également nous permettre de conclure des transactions plus facilement avec les états étrangers, et voir même de concurrencer le dieu-dollar sur les marchés financiers, bref, il fallait être irresponsable pour ne pas accepter.
Effectivement à l'époque tout semblait rose, et même les plus euro-sceptiques ne trouvaient que peu d'arguments à opposer à cette nouvelle monnaie européenne.
Bien des années après, le constat est glaçant.
Premièrement, il est indiscutable que l'euro a engendré une hausse des prix, et ce, dans tous les domaines de la vie courante, le fameux "pouvoir d'achat", notion pré-fabriquée devenue un argument électoral de plus : les politiciens promettent toujours de préserver le "pouvoir d'achat" avant une élection, mais c'est au "pouvoir de vendre" qu'ils pensent.
Les gouvernements français n'ont pas hésité à sacrifier l'emploi en permettant aux industriels de délocaliser en masse pour revendre les mêmes produits avec une marge délirante à ceux qu'ils avaient licenciés.
Quand ils prétendent protéger le pouvoir d'achat, ils protègent le formidable pouvoir des banques et organismes de crédit sur les individus, car en courant au pouvoir d'achat, devenu le saint
Graal des ménages français, on court en fait à l'endettement et à l'extinction de notre réel pouvoir de décision, ceci est vérifiable à l'échelle humaine, mais également à l'échelle des entreprises, des collectivités et des états.
L'euro a participé à l'abaissement du niveau de vie des peuples et donc à l'enrichissement des banques, tout cela fait partie intégrante du plan de l'UE, la monnaie unique n'est que l'aboutissement du désir des institutions européenes d'asservir les peuples et les états, encore une fois l'état français est complice de la lente mise à mort de son peuple.
Un individu endetté est un individu docile, un individu endetté est un individu malléable, un individu endetté et sensible à des arguments électoraux liés au pouvoir d'achat !
Lorsqu'un état européen permet à ses entreprises de délocaliser des forces de production, il participe à l'appauvrissement de son peuple en créant du chômage, mais il contribue surtout à faire émerger des pays qui eux-mêmes se sont endettés auprès des banquiers internationaux.

Thibault Gond.
Résultat de recherche d'images pour "u.e pourrie"

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire