vendredi 11 décembre 2015

Sparte, une glorieuse ancêtre.

Il y a 2800 ans naissait Sparte, une idée, un pari sur l'avenir, une référence éternelle, la seule cité à avoir conservé son système politique intact durant cinq siècles.


L'Histoire universelle est une source inépuisable d'inspiration pour celui qui sait la comprendre, de même qu'un enfant doit apprendre de ses erreurs l'être humain doit sans cesse s'adapter au monde qui l'entoure génération après génération, un éternel gâchis, perpétuel recommencement de l'apprentissage.


À une époque où le simple fait d'évoquer la grandeur de notre civilisation peut nous valoir de sévères ennuis judiciaires, c'est justement une nécessité absolue de puiser nos forces dans les puissants exemples de notre histoire millénaire.
Nos ennemis sont forts, ils ont compris que pour détruire un peuple, on commence par le couper de ses racines et plus elles sont profondes plus radical doit être l'anéantissement.


L'objectif ne doit pas être un retour vers le passé non, à aucun prix ! Le choix de notre évolution ou de notre disparition nous pousse inexorablement vers l'avenir, plus question de reculer, mais cet avenir doit être construit en conscience et en connaissance.
Les grands bâtisseurs de notre civilisation, ceux-là même à qui nous devons notre culture et notre relative indépendance étaient tous des visionnaires et vivaient entièrement tournés vers l'avenir.
Pensez à Alexandre le Grand, Jules César, Charlemagne ou encore Napoléon, c'est en eux, en nous inspirant de leur exemple que nous devons mener notre combat, en nous dirigeant avec entrain vers l'inconnu, nous perpétuons leur héritage et restons fidèles à l'idéal européen, un idéal de conquête, de grandeur et d'innovation.


Sparte doit elle-même nous rappeler que malgré un monde fonctionnant sur un modèle défini, (dans notre cas, la doctrine libérale du mondialisme) un état peut s'affirmer en dehors de ce modèle, et même perdurer alors que les nations bien conformes au moule s'écrasent les unes après les autres.
Ce fut le cas d'Athènes, Mycènes, Syracuse, Epire et de la totalité des cités grecques de son époque, au final seul Sparte même après de cuisants revers militaires a réussi à conserver son système politique et son autonomie.
Pourquoi ? Parce que le système de gouvernance à Sparte était radicalement différent de celui de ses voisins, parce qu'il était plus fort, plus pur et parce que Sparte n'a jamais oublié : ce qui inscrit les organismes dans la vie, c'est la volonté de puissance.
Thibault Gond



La grande arnaque européene.

Le modèle qui nous a été vendu comme un progrès immense et une source de richesses incalculables est en fait un édifice pourri et totalitaire.


Années après années les peuples européens se réveillent lentement comme après une nuit trop longue et le reveil est plus que douloureux, des millions d'européens otages de leurs gouvernements se rendent compte que l'union européene est en réalité un vampire polyforme qui se nourrit de la productivité et de la force des individus au profits d'interêts obscurs et étrangers.


Au départ, dans les années 1950 l'objectif était noble : empêcher de nouvelles guerres européennes en mettant en commun des ressources comme le charbon ou l'acier nécessaires à la production militaire.
Dans les années 1960 l'objectif était la simplification, le traité de fusion imposait que les pays membres soient dirigés par une entité basée à Bruxelles.
En 1987, le rôle du Parlement européen a été renforcé afin de devenir un parlement "supra-national" ayant un droit de regard sur les mesures législatives prises au sein de chaque état.
Puis les choses s'accélèrent ; 1992 : Traité de Maastricht, 1997 : traité d'Amsterdam, 2001 : traité de Nice.


La perte inacceptable de notre pouvoir de décision s'est opérée au fil des traités et des décrets en endormant à chaque fois l'électeur à coup de campagnes de propagandes et en faisant culpabiliser l'européen sur son passé: nous sommes (entre autre) les méchants blancs colonisateurs qui doivent expier pendant des milliers d'années.


L'euro mis en circulation le 1er janvier 2002 est sans doute la plus grande fumisterie de l'histoire de notre continent.


L'idée d'une monnaie unique n'est pas une mauvaise chose en soi, je me souviens que les arguments largement diffusés grâce à la machine de propagande d'état mise en branle étaient saisissants de bon sens, ainsi cette nouvelle monnaie allait nous permettre de voyager dans tous les pays membres de l'UE en utilisant les mêmes pièces et les mêmes billets, cette nouvelle monnaie allait également nous permettre de conclure des transactions plus facilement avec les états étrangers, et voir même de concurrencer le dieu-dollar sur les marchés financiers, bref, il fallait être irresponsable pour ne pas accepter.


Effectivement à l'époque tout semblait rose, et même les plus euro-sceptiques ne trouvaient que peu d'arguments à opposer à cette nouvelle monnaie européenne.
Bien des années après, le constat est glaçant.


Premièrement, il est indiscutable que l'euro a engendré une hausse des prix, et ce, dans tous les domaines de la vie courante, le fameux "pouvoir d'achat", notion pré-fabriquée devenue un argument électoral de plus : les politiciens promettent toujours de préserver le "pouvoir d'achat" avant une élection, mais c'est au "pouvoir de vendre" qu'ils pensent.
Les gouvernements français n'ont pas hésité à sacrifier l'emploi en permettant aux industriels de délocaliser en masse pour revendre les mêmes produits avec une marge délirante à ceux qu'ils avaient licenciés.
Quand ils prétendent protéger le pouvoir d'achat, ils protègent le formidable pouvoir des banques et organismes de crédit sur les individus, car en courant au pouvoir d'achat, devenu le saintGraal des ménages français, on court en fait à l'endettement et à l'extinction de notre réel pouvoir de décision, ceci est vérifiable à l'échelle humaine, mais également à l'échelle des entreprises, des collectivités et des états.
L'euro a participé à l'abaissement du niveau de vie des peuples et donc à l'enrichissement des banques, tout cela fait partie intégrante du plan de l'UE, la monnaie unique n'est que l'aboutissement du désir des institutions européenes d'asservir les peuples et les états, encore une fois l'état français est complice de la lente mise à mort de son peuple.


Un individu endetté est un individu docile, un individu endetté est un individu malléable, un individu endetté et sensible à des arguments électoraux liés au pouvoir d'achat !


Lorsqu'un état européen permet à ses entreprises de délocaliser des forces de production, il participe à l'appauvrissement de son peuple en créant du chômage, mais il contribue surtout à faire émerger des pays qui eux-mêmes se sont endettés auprès des banquiers internationaux.La manœuvre vise à s'assurer que ces pays "émergents" règlent bien les intérêts de leurs emprunts faramineux (le capital n'a que peu d'importance): voilà la grande arnaque européenne dont nous, les peuples sommes les seules victimes.
Le modèle qui nous a été vendu comme un progrès immense et une source de richesses incalculables est en fait un édifice pourri et totalitaire.
Années après années les peuples européens se réveillent lentement comme après une nuit trop longue et le reveil est plus que douloureux, des millions d'européens otages de leurs gouvernements se rendent compte que l'union européene est en réalité un vampire polyforme qui se nourrit de la productivité et de la force des individus au profits d'interêts obscurs et étrangers.
Au départ, dans les années 1950 l'objectif était noble : empêcher de nouvelles guerres européennes en mettant en commun des ressources comme le charbon ou l'acier nécessaires à la production militaire.
Dans les années 1960 l'objectif était la simplification, le traité de fusion imposait que les pays membres soient dirigés par une entité basée à Bruxelles.
En 1987, le rôle du Parlement européen a été renforcé afin de devenir un parlement "supra-national" ayant un droit de regard sur les mesures législatives prises au sein de chaque état.
Puis les choses s'accélèrent ; 1992 : Traité de Maastricht, 1997 : traité d'Amsterdam, 2001 : traité de Nice.
La perte inacceptable de notre pouvoir de décision s'est opérée au fil des traités et des décrets en endormant à chaque fois l'électeur à coup de campagnes de propagandes et en faisant culpabiliser l'européen sur son passé.
L'euro mis en circulation le 1er janvier 2002 est sans doute la plus grande fumisterie de l'histoire de notre continent.
L'idée d'une monnaie unique n'est pas une mauvaise chose en soi, je me souviens que les arguments largement diffusés grâce à la machine de propagande d'état mise en branle étaient saisissants de bon sens, ainsi cette nouvelle monnaie allait nous permettre de voyager dans tous les pays membres de l'UE en utilisant les mêmes pièces et les mêmes billets, cette nouvelle monnaie allait également nous permettre de conclure des transactions plus facilement avec les états étrangers, et voir même de concurrencer le dieu-dollar sur les marchés financiers, bref, il fallait être irresponsable pour ne pas accepter.
Effectivement à l'époque tout semblait rose, et même les plus euro-sceptiques ne trouvaient que peu d'arguments à opposer à cette nouvelle monnaie européenne.
Bien des années après, le constat est glaçant.
Premièrement, il est indiscutable que l'euro a engendré une hausse des prix, et ce, dans tous les domaines de la vie courante, le fameux "pouvoir d'achat", notion pré-fabriquée devenue un argument électoral de plus : les politiciens promettent toujours de préserver le "pouvoir d'achat" avant une élection, mais c'est au "pouvoir de vendre" qu'ils pensent.
Les gouvernements français n'ont pas hésité à sacrifier l'emploi en permettant aux industriels de délocaliser en masse pour revendre les mêmes produits avec une marge délirante à ceux qu'ils avaient licenciés.
Quand ils prétendent protéger le pouvoir d'achat, ils protègent le formidable pouvoir des banques et organismes de crédit sur les individus, car en courant au pouvoir d'achat, devenu le saint
Graal des ménages français, on court en fait à l'endettement et à l'extinction de notre réel pouvoir de décision, ceci est vérifiable à l'échelle humaine, mais également à l'échelle des entreprises, des collectivités et des états.
L'euro a participé à l'abaissement du niveau de vie des peuples et donc à l'enrichissement des banques, tout cela fait partie intégrante du plan de l'UE, la monnaie unique n'est que l'aboutissement du désir des institutions européenes d'asservir les peuples et les états, encore une fois l'état français est complice de la lente mise à mort de son peuple.
Un individu endetté est un individu docile, un individu endetté est un individu malléable, un individu endetté et sensible à des arguments électoraux liés au pouvoir d'achat !
Lorsqu'un état européen permet à ses entreprises de délocaliser des forces de production, il participe à l'appauvrissement de son peuple en créant du chômage, mais il contribue surtout à faire émerger des pays qui eux-mêmes se sont endettés auprès des banquiers internationaux.

Thibault Gond.
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La dette, un poison pour les peuples.

Le jour où nos gouvernants ont préféré servir leurs propres intérêts plutôt que le peuple français, ils ont vendu notre pouvoir à l'Union européenne qui n'a eu de cesse depuis de nous asservir avec la complicité des chefs d'État successifs.


L'esclavage par l'intérêt est une réalité, l'union européenne telle que nous la connaissons en est la représentante.


En 1972 à une époque où notre souveraineté ne se négociait pas encore sur les marchés financiers, l'État français empruntait à la banque de France à 0 %.
Georges Pompidou, président de la République, mais également vice-président de la banque Rothschild a un jour jugé bon de stopper ce mode de financement avantageux pour faire emprunter l'État auprès des banques privées (dont Rothschild) et des marchés financiers, la bonne planque de sa place lui à permis d'engraisser ses puissants amis banquiers et au passage de recevoir sans doute d'obscurs avantages d'une telle opération.
C'est depuis ce jour que notre pays est gravement endetté, et que notre économie tourne autour de la dette ! La dette fait partie de nous, de nos vies du berceau à la tombe ! Cette dette, c'est l'esclavage moderne, c'est l'asservissement de l'homme et des peuples par l'argent, c'est la dissolution de tout ce qui est sacré, car l'argent permet d'acheter donc de posséder et quand celui à qui on achète est dans un état d'endettement perpétuel incapable de sortir la tête de l'eau, le prix du bien devient dérisoire, la valeur n'existe plus.


C'est pourquoi il est absolument nécessaire d'abolir cette dette nationale et européenne, il est absolument nécessaire de cesser d'avilir les peuples par le matérialisme, la tâche des générations future est immense, car elle implique un changement radical d'orientation.
La dette nous maintient dans un état de peur permanente et nous le voyons, il est impossible d'entreprendre lorsque la peur s'installe, la dette participe à notre effondrement.


Il n'est pas naturel d'entretenir sciemment en son sein un ennemi mortel, le principe de la dette est donc contraire à l'ordre des choses et à la liberté des peuples.
La manœuvre est insidieuse et d'une fourberie inimaginable. L'individu doit en plus des enjeux de la vie moderne composer avec son "taux d'endettement", surveiller ses divers comptes et emprunts, cartes de crédit, sans cesse prévoir l'avenir, anticiper sur ses dépenses, ses aspirations ne surtout pas vivre dans le présent, mais en permanence dans l'insécurité financière et la peur du lendemain.


On comprend aisément les bénéfices que peux tirer un gouvernement corrompu d'un tel état de faiblesse, le contrôle des populations à grande échelle passe par l'esclavage par l'intérêt, par l'abrutissement grâce au crédit.
En vivant à travers la dette, nous traversons la vie comme des bêtes qu'on mène à l'abattoir et toute idée de révolte, d'émancipation ou même de courage politique est anéantie. "Pour faire taire un opposant, frappez-le au portefeuille" serait la maxime préférée de nos dirigeants vendus, "pour faire taire un peuple frappez-le au portefeuille" serait plus juste.


Là encore, c'est notre responsabilité qui sera engagée, là où les banques ne peuvent pas prêter, pratiquer l'usure, elles n'ont aucun pouvoir et donc la machine consumériste s'écroule et avec elle tout ce système financier pourri qui gangrène nos économies.


Retrouver notre liberté financière, atteindre l'émancipation des marchés internationaux passe par une mise à mort du système bancaire français tel que nous le connaissons et c'est un préalable à notre évolution.
Thibault Gond