vendredi 11 décembre 2015

La dette, un poison pour les peuples.

Le jour où nos gouvernants ont préféré servir leurs propres intérêts plutôt que le peuple français, ils ont vendu notre pouvoir à l'Union européenne qui n'a eu de cesse depuis de nous asservir avec la complicité des chefs d'État successifs.


L'esclavage par l'intérêt est une réalité, l'union européenne telle que nous la connaissons en est la représentante.


En 1972 à une époque où notre souveraineté ne se négociait pas encore sur les marchés financiers, l'État français empruntait à la banque de France à 0 %.
Georges Pompidou, président de la République, mais également vice-président de la banque Rothschild a un jour jugé bon de stopper ce mode de financement avantageux pour faire emprunter l'État auprès des banques privées (dont Rothschild) et des marchés financiers, la bonne planque de sa place lui à permis d'engraisser ses puissants amis banquiers et au passage de recevoir sans doute d'obscurs avantages d'une telle opération.
C'est depuis ce jour que notre pays est gravement endetté, et que notre économie tourne autour de la dette ! La dette fait partie de nous, de nos vies du berceau à la tombe ! Cette dette, c'est l'esclavage moderne, c'est l'asservissement de l'homme et des peuples par l'argent, c'est la dissolution de tout ce qui est sacré, car l'argent permet d'acheter donc de posséder et quand celui à qui on achète est dans un état d'endettement perpétuel incapable de sortir la tête de l'eau, le prix du bien devient dérisoire, la valeur n'existe plus.


C'est pourquoi il est absolument nécessaire d'abolir cette dette nationale et européenne, il est absolument nécessaire de cesser d'avilir les peuples par le matérialisme, la tâche des générations future est immense, car elle implique un changement radical d'orientation.
La dette nous maintient dans un état de peur permanente et nous le voyons, il est impossible d'entreprendre lorsque la peur s'installe, la dette participe à notre effondrement.


Il n'est pas naturel d'entretenir sciemment en son sein un ennemi mortel, le principe de la dette est donc contraire à l'ordre des choses et à la liberté des peuples.
La manœuvre est insidieuse et d'une fourberie inimaginable. L'individu doit en plus des enjeux de la vie moderne composer avec son "taux d'endettement", surveiller ses divers comptes et emprunts, cartes de crédit, sans cesse prévoir l'avenir, anticiper sur ses dépenses, ses aspirations ne surtout pas vivre dans le présent, mais en permanence dans l'insécurité financière et la peur du lendemain.


On comprend aisément les bénéfices que peux tirer un gouvernement corrompu d'un tel état de faiblesse, le contrôle des populations à grande échelle passe par l'esclavage par l'intérêt, par l'abrutissement grâce au crédit.
En vivant à travers la dette, nous traversons la vie comme des bêtes qu'on mène à l'abattoir et toute idée de révolte, d'émancipation ou même de courage politique est anéantie. "Pour faire taire un opposant, frappez-le au portefeuille" serait la maxime préférée de nos dirigeants vendus, "pour faire taire un peuple frappez-le au portefeuille" serait plus juste.


Là encore, c'est notre responsabilité qui sera engagée, là où les banques ne peuvent pas prêter, pratiquer l'usure, elles n'ont aucun pouvoir et donc la machine consumériste s'écroule et avec elle tout ce système financier pourri qui gangrène nos économies.


Retrouver notre liberté financière, atteindre l'émancipation des marchés internationaux passe par une mise à mort du système bancaire français tel que nous le connaissons et c'est un préalable à notre évolution.
Thibault Gond

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